Mag 16, 2012 - Senza categoria    1 Comment

Les aventures de tintin le secret de la licorne

 

Résumé du film Les aventures de tintin le secret de la licorne:Parce qu’il achète la maquette d’un bateau appelé la Licorne, Tintin, un jeune reporter, se retrouve entraîné dans une fantastique aventure à la recherche d’un fabuleux secret. En enquêtant sur une énigme vieille de plusieurs siècles, il contrarie les plans d’Ivan Ivanovitch Sakharine, un homme diabolique convaincu que Tintin a volé un trésor en rapport avec un pirate nommé Rackham le Rouge. Avec l’aide de Milou, son fidèle petit chien blanc, du capitaine Haddock, un vieux loup de mer au mauvais caractère, et de deux policiers maladroits, Dupond et Dupont, Tintin va parcourir la moitié de la planète, et essayer de se montrer plus malin et plus rapide que ses ennemis, tous lancés dans cette course au trésor à la recherche d’une épave engloutie qui semble receler la clé d’une immense fortune… et une redoutable malédiction. De la haute mer aux sables des déserts d’Afrique, Tintin et ses amis vont affronter mille obstacles, risquer leur vie, et prouver que quand on est prêt à prendre tous les risques, rien ne peut vous arrêter…

Année: 2011
Réalisation: Steven Spielberg,
Avec: Jamie Bell Andy Serkis Daniel Craig
Genre: Aventure
Boxoffice: 5 315 000 spectateurs en 2011
Presse: vote ouivote ouivote ouivote ouivote non

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Apr 11, 2012 - Senza categoria    1 Comment

RESEAUX SOCIAUX- DANGERS Les réseaux sociaux c’est un peu comme un trou de serrure où tout le monde espionne tout le monde

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La moitié des jeunes entre 8 et 17 ans sont connectés à un réseau social, le premier étant de loin Facebook, suivi par les Skyblog et Myspace. C’est ce que montre une enquête de juin 2011

Même quand c’est interdit, ils y vont…

Près de 20 % des moins de 13 ans sont connectés à Facebook… alors que c’est interdit. Et 97 % des parents sont au courant de la situation. Et à partir du lycée, près de 90 % des jeunes sont sur les réseaux sociaux. Et ils

Les réseaux sociaux, une agressivité présente !

On observe que 31 % des filles de plus de 13 ans affirment avoir déjà été victimes d’insultes, de mensonges ou de rumeurs. Et cela monte à 33 % pour ceux qui ont plus de 300 amis. Plus d’amis, c’est aussi plus de contacts avec des personnes agressives! Toujours parmi les jeunes ayant plus de 300 amis, 53 % des enfants disent avoir déjà été choqués par des contenus insultants, violents ou racistes. Quand on leur demande ce qui les a choqué, près de 20 % citent en premier le sexe, la pornographie, les personnes dénudées ; 15 % les bagarres, les accidents ou le sang ; 15 % les propos racistes ou homophobes.

Chez les adolescents les réseaux sociaux présentent un engouement tout particulier. Ceux-ci leur permettre de rester en contact après le « bahut », pour parler de la journée, ou bien des potins du collège ou du lycée, avec leurs semblables. Une merveilleuse invention!

Les jeunes ont alors un sentiment de toute puissance derrière leurs écrans. Le passe temps favoris des jeunes: l’espionnage et les rencontres!

Consulter le profil d’un ami pour voir ce qu’il a fait aujourd’hui, ce qu’il compte faire ce week-end, regarder ses photos et vidéos, tomber sur le profil d’un de ses amis que l’on pense connaître, aller voir le profil d’un de ses « potes » parce qu’il est trop « canon »… Et ainsi de suite. L’intrusion dans la vie n’est alors qu’à porter de clic.

La popularité est quelque chose de très importante sur les sites communautaire. S’engage alors une compétition pour celui qui aura le plus d’amis! Quelle utilité? Bonne question! Avoir 260 amis ou plus signifie quoi au juste? « J’suis trop connu! » Quel est l’intérêt lorsqu’on ne connaît pas, ou très peu la moitié des personnes qui font parti de notre réseau?

Se cacher derrière son ordinateur, créer un compte avec un nom, un prénom, usurper une identité quelque chose de très simple. Mais cela devient beaucoup plus grave quand la personne qui est derrière l’écran n’est pas celle que l’on croit. Nouer des relations avec cette personne, lui donner des détails sur notre vie, nos passions. Commencer à s’enticher de cette personne, lui donner rendez-vous pour une rencontre. Et là s’apercevoir que la personne avec laquelle on a fait connaissance, on a parlé pendant tant de temps n’est pas celle que l’on croit être, mais hélas il est déjà trop tard

 D’AUTRES RISQUES

Le harcèlement : les réseaux sociaux permettent d’échanger des messages. Certains se servent de ces outils de communication pour insulter leurs contacts ou pour leur envoyer des photos obscènes.

Le vol d’identité : ce phénomène comporte plusieurs degrés. Le premier degré est le détournement de photo. Une photo récupérée sur un réseau social du style MySpace ou Facebook peut être modifiée, détournée à l’insu de son propriétaire. Le second degré est le vol pur et simple d’identité. Certains petits malins créent des profils à la place d’autres personnes et se font passer pour elles sur Internet.

Y passer trop de temps : comme tout outil interactif (le surf, les jeux vidéo…), les réseaux sociaux sont extrêmement chronophages. Il est alors tentant pour un enfant d’y consacrer plus de temps qu’à la lecture, à ses devoirs… et surtout de se plonger dans ce genre d’activité au lieu de faire marcher son imagination.

QUELQUES SOLUTIONS FACILES

Le harcèlement : il ne faut pas hésiter à faire comprendre à son interlocuteur qu’il a dépassé les limites lorsqu’il vous envoie des messages à répétition que l’on n’a pas sollicités. Et s’il n’obtempère pas, il ne faut pas hésiter à l’enlever de sa liste d’amis (“défacebooker”).

Vol d’identité : il ne faut pas hésiter de temps en temps à rechercher son propre nom sur les moteurs de recherche pour voir les informations qui circulent sur soi sur Internet.

Le temps passé sur cette activité : là, c’est aux parents d’intervenir et de surveiller discrètement ce que font leurs enfants sur Internet. Pour cela, la meilleure solution reste encore d’installer l’ordinateur dans une pièce commune où la famille peut jeter un coup d’oeil sur ce qui se passe.

QUELQUES REGLES FACILES A SUIVRE

Limiter le temps passé sur les réseaux sociaux, bien sûr, puisque le temps de vie dans une réalité virtuelle est ôté à la vie réelle ! Et cela d’autant que le temps passé sur un ordinateur est négativement corrélé aux résultats scolaires.
Accepter des inconnus comme amis, c’est ouvrir la porte à des personnes peut-être agressives ou malhonnêtes. Chercher à gagner le concours de “celui qui a le plus d’amis” est stupide. En amitié, c’est la qualité qui compte, pas la quantité.

Règles explicites ou implicites :

– Il est interdit de mettre en ligne des photos sans avoir obtenu une autorisation des personnes concernées.
– Il est interdit de tenir des propos agressifs, racistes, violents, mensongers sur qui que ce soit…

– Ridiculiser quelqu’un est un acte très grave.

– Si l’on veut se faire respecter, il faut respecter les autres, et l’on ne fait jamais aux autres ce que l’on ne voudrait pas que l’on nous fasse.

Finalement, l’éthique d’internet est simplement l’éthique de la vraie vie, toujours à rappeler régulièrement aux enfants.

 

Apr 9, 2012 - Senza categoria    Commenti disabilitati su PARIS

PARIS

Malgré les nombreuses stars à l’affiche, le nouveau film de a pour unique vedette la Ville-Lumière. Célèbres ou inattendus, découvrez les lieux de tournage dans la capitale d’un cinéaste qui aime à déclarer : « Si je n’habitais pas à , je vivrais à Paris »…

Et pour commencer, le cinéaste a pris ses appartements au ! Une partie du tournage s’y est d’ailleurs également déroulé. Car c’est dans cet hôtel – qui vient tout juste de recevoir le titre de « Palace » – que descend la famille américaine de passage à Paris. Des scènes ont en particulier été tournées dans la Suite Panoramique ainsi que devant l’entrée et dans le hall de l’hôtel… Le Bristol, un lieu mythique situé à quelques pas du Palais de l’Elysée.

Depuis le temps que Woody Allen souhaitait faire un nouveau film à Paris (après « Tout le monde dit I Love you » en 1996), il semble que Woody Allen a voulu rattraper le temps perdu. Ainsi, il filme les quais de Seine comme il l’avait fait pour son dernier tournage parisien. Il passe par les fameux bouquinistes, par le square Jean XXXIII qui longe la cathédrale Notre-Dame, par la Place Dauphine située dans l’ile de la cité ou encore par le mythique . Un vrai petit guide touristique ce Woody Allen !

images.jpgComme nous le montre l’affiche du film, qui fait un clin d’œil au peintre , la Ville Lumière est présentée comme celle des artistes. Et Woody Allen nous fait découvrir les hauts lieux culturels de la capitale. Promenade dans la du Château de Versailles, au où sont présentées les Nymphéas de . Mais également dans la maison du peintre à Giverny où encore au .

Plus surprenant, Woody Allen nous conduit aux ! Un peu moins original, le cinéaste s’est également installé sur la Place de la Contrescarpe. Situé dans le 5ème arrondissement,

Synopsis

Gil et Inez sont deux jeunes fiancés américains préparant leur mariage. Ils passent quelques jours à Paris, accompagnant les parents d’Inez venus en France pour affaires. Alors que Gil est sous le charme de la capitale française et envisage de s’y installer, ni sa promise, ni ses futurs beaux-parents ne l’apprécient outre mesure. La rencontre inopinée avec un autre couple américain dont le mari est un ancien flirt d’Inez, suffisant et imbuvable, va contribuer à éloigner un peu plus les jeunes fiancés.

Gil parcourt la ville à la recherche de l’inspiration pour son prochain roman et, alors que les douze coups de minuit ont sonné, il est invité à monter dans une vieille voiture qui va l’emporter vers le Paris des années 1920. Au fil des nuits, il va alors rencontrer Zelda et F. Scott Fitzgerald, Cole Porter, Ernest Hemingway, Juan Belmonte, Gertrude Stein, Pablo Picasso, T. S. Eliot, Salvador Dalí, Luis Buñuel, Man Ray, Toulouse Lautrec, Henri Matisse… Il va peu à peu tomber amoureux d’Adriana, qui est alors l’égérie de Picasso après avoir été celle de Modigliani. Pourtant celle-ci ne rêve que du Paris et du Maxim’s de la Belle époque, où ils finissent par se retrouver tous deux et où Adriana restera. Gil se séparera d’Inez et restera à Paris, où il rencontrera une jeune contemporaine aimant comme lui la ville sous la pluie. (wikipedia)

 


Minuit à Paris – Bande annonce VF HD di sortiescinema

Mar 22, 2012 - Senza categoria    Commenti disabilitati su Kitty et ses chatons

Kitty et ses chatons


Mar 22, 2012 - Senza categoria    Commenti disabilitati su NOS BANDES DESSINEES

NOS BANDES DESSINEES

Aspect physique et caractère des personnages de BD que nous préférons – 1B/C

 

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Feb 1, 2012 - Senza categoria    Commenti disabilitati su LE RACISME

LE RACISME

–  Lilian Thuram

 L’Homme, petit ou grand, a besoin d’étoiles pour se repérer. Il a besoin de modèles pour se construire, bâtir son estime de soi, changer son imaginaire, casser les préjugés qu’il projette sur lui-même et sur les autres.
Dans mon enfance, on m’a montré beaucoup d’étoiles. Je les ai admirées, j’en ai rêvé : Socrate, Baudelaire, Einstein, Marie Curie, le général de Gaulle, Mère Teresa… Mais des étoiles noires, personne ne m’en a jamais parlé. Les murs des classes étaient blancs, les pages des livres d’histoire étaient blanches. J’ignorais tout de mes propres ancêtres. Seul l’esclavage était mentionné. L’histoire des Noirs, ainsi présentée, n’était qu’une vallée d’armes et de larmes.
Pouvez-vous me citer un scientifique noir ?
Un explorateur noir ?
Un philosophe noir ?
Un pharaon noir ?
Si vous ne le savez pas, quelle que soit la couleur de votre peau, ce livre est pour vous.
Car la meilleure façon de lutter contre le racisme et l’intolérance, c’est d’enrichir nos connaissances et nos imaginaires.
Ces portraits de femmes et d’hommes sont le fruit de mes lectures et de mes entretiens avec des spécialistes et des historiens. De Lucy à Barack Obama, en passant par Ésope, Dona Béatrice, Pouchkine, Anne Zingha, Aimé Césaire, Martin Luther King et bien d’autres encore, ces étoiles m’ont permis d’éviter la victimisation, d’être capable de croire en l’Homme, et surtout d’avoir confiance en moi.

Lilian Thuram, né en Guadeloupe en 1972, a connu une carrière prestigieuse de footballeur international : champion du monde en 1998, champion d’Europe en 2000, vice-champion du monde en 2006, ainsi que de nombreux titres en club. Il a détenu jusqu’au 28 octobre 2008 le record de sélections en équipe de France, record appartenant aujourd’hui à Sandrine Soubeyran, capitaine de l’équipe de France féminine. En 2008, il a créé la Fondation Lilian Thuram, éducation contre le racisme.

  • La revue de presse Benoît Hopquin – Le Monde du 22 janvier 2010

Ces quarante-cinq portraits brossés forcément trop vite, avec l’aide de l’historien Bernard Fillaire, se veulent quarante-cinq façons de balayer les idées reçues…
“Seul le changement de nos imaginaires peut nous rapprocher et faire tomber nos barrières culturelles”, estime Lilian Thuram. Ce livre à destination d’un large public entend y contribuer. Le champion du monde, l’icône de la France “black-blanc-beur” met sa notoriété au service de ces personnages afin qu’ils intègrent la mémoire populaire. Ce n’est pas là une déplaisante idée

– Tahar Ben Jelloun

Vidéo: http://www.youtube.com/watch?v=4GBE6yWjayE

L’auteur:
Tahar Ben Jelloun est né à Fez, au Maroc, en 1944.
Il fait ses études supérieures (philosophie et psychiatrie) à Paris, où il présente une thèse de doctorat en psychiatrie sociale,
L’attention qu’il porte aux opprimés est une constante de son oeuvre: les immigrés (La réclusion solitaire, 1973), mais aussi les femmes maghrébines à la difficile conquête d’une identité

 Les thèmes:
Tahar Ben Jelloun a écrit: “Je suis parti du principe que la lutte contre le racisme commence avec l’éducation. On peut éduquer des enfants, pas des adultes. C’est pour cela que ce texte a été pensé et écrit dans un souci pédagogique”. Commençons donc par dire que ce livre sert principalement aux adultes qui veulent repondre aux questions de leurs enfants avec besoin de clarté et simplicité, pour les éduquer à ne pas être racistes. Dans le premier chapitre, en effet, Ben Jelloun dit que la nature spontanée des enfants n’est pas raciste: il est persuadé, et je suis totalement d’accord, que le racisme vient de l’éducation que l’on reçoit; ce sont les parents, les profs et quelquefois la télé qui contribuent à cette éducation.
Dans ce but du livre, nous trouvons beaucoup de thèmes importants, tous analysés minutieusement. Je veux les approfondir un à un.
Tout le livre est centré sur le racisme, un comportement qui consiste à se méfier des personnes ayant des caractéristiques physiques et culturelles différentes des nôtres.
Il naît principalement du préjugé, quand une personne juge les autres avant de les connaître; il croit savoir d’avance ce qu’ils sont et ce qu’ils valent. Mais, ce qui est très important, c’est que souvent elle se trompe! Autre chose significative qui fait naître le racisme est la peur, parce que le raciste a peur de celui qui ne lui ressemble pas: beaucoup d’hommes politiques, malheureusement, ont utilisé et utilisent ce sentiment pour justifier leur idées racistes et faire des disciples. Même l’ignorance, le refus et la bêtise font naître le racisme.
Le livre parle aussi de la discrimination, qui veut dire séparer un groupe social ou éthnique des autres en le traitant mal; la science peut expliquer les différences physiques, mais il n’y a pas de preuves scientifiques au racisme. Nous ne devons pas confondre ces deux choses!
Autre thème est la différence: les différences socioculturelles, qui sont une richesse pour un pays d’accueil, doivent être préservées. La France, pays à forte immigration, avait choisi dans un premier temps une politique d’assimilation des immigrés; aujourd’hui, on prône l’intégration. INTéGRATION  veut dire faire propre des valeurs et des traditions avec l’échange et l’approfondissement culturel; ASSIMILATION veut dire entrer en une communité et s’adapter constamment. Deux choses un peu différentes.
Tahar Ben Jelloun analyse après l’antisémitisme, très probablement la plus grave forme de descrimination de l’histoire, et d’extermination.
Très important est de plus le raisonnement psychologique que l’auteur fait vers la moitié du livre: “Le fait d’avoir souffert de l’injustice ne rend pas forcément juste. Un homme qui a été victime de racisme pourrait, dans certains cas, céder à la tentation raciste”. Cette phrase est vraiment significative: souvent, parce qu’on a souffert, nous nous sentons légitimés à mettre à exécution, par faute de la haine, une sorte de vengeance. Et ça fait développer énormément le racisme. Ben Jelloun donne une particulière attention aux mots, qui peuvent être dangereux: il faut renoncer aux idées toutes faites,

 http://www.webalice.it/loryuno/creations-eleves/fiches-de-lecture/racisme-suglia/index.htm

 

 

Gen 16, 2012 - Senza categoria    Commenti disabilitati su DANIEL PENNAC

DANIEL PENNAC

Vidéo: interview sur le livre “Chagrin d’école

http://youtu.be/o7a56PIUuaQ

“Comme un roman”

Pennac établit ici une liste de droits du lecteur:

  1. « Le droit de ne pas lire » : ce droit explique qu’un lecteur a tout à fait le droit de ne pas lire.
  2. « Le droit de sauter des pages » : ce droit explique qu’un lecteur peut sauter des pages et le conseille même aux enfants pour qui les livres comme Moby Dick et autres classiques sont réputés inaccessibles de par leur longueur. Il mentionne qu’il a lu Guerre et Paix en sautant les trois quarts du livre.
  3. « Le droit de ne pas finir un livre » : Daniel Pennac explique qu’il y a plusieurs raisons de ne pas aimer un livre et les énumère;le sentiment de déjà lu, une histoire qui ne nous retient pas, une désapprobation totale des thèses de l’auteur,
  4. « Le droit de relire. » : l’auteur explique ici les raisons pour relire un livre;pour le plaisir de la répétition, pour ne pas sauter de passage, pour lire sous un autre angle, pour vérifier.
  5. « Le droit de lire n’importe quoi » : Daniel Pennac explique que l’on peut lire tout ce que l’on veut mais que cela n’exclue pas qu’il y ait des bons et mauvais romans. Il les classe en deux sortes, les romans industriels qui se contentent de reproduire à l’infini les mêmes types de récits, débite du stéréotype, fait commerce de bons sentiments, des valeurs et des anti-valeurs ainsi que des sensations fortes. L’auteur les décrits comme mauvais, car il ne trouve pas que cela est de la création mais de la reproduction.
  6. « Le droit au bovarysme (maladie textuellement transmissible) » : droit à la « satisfaction immédiate et exclusive de nos sensations ». Daniel Pennac décrit tous les phénomènes liés à cette « maladie ». L’imagination qui enfle, les nerfs qui vibrent, le cœur qui s’emballe, l’adrénaline
  7. « Le droit de lire n’importe où » : l’auteur explique que l’on peut lire n’importe où en prenant l’exemple d’un soldat qui pour lire se désigne chaque matin pour nettoyer les toilettes afin d’y lire l’œuvre intégrale de Nicolas Gogol
  8. « Le droit de grappiller »:ce droit explique que l’on peut commencer un livre à n’importe quelle page si l’on ne dispose que de cet instant là pour lire.
  9. « Le droit de lire à haute voix » : Daniel Pennac explique ici à travers le témoignage d’une fille qui lui explique qu’elle aime bien lire à voix haute à cause de l’école qui interdisait la lecture à voix haute. Il la compare à plusieurs auteurs qui pour écrire leurs livres les relisaient à voix haute.
  10. « Le droit de nous taire » : ce droit explique que l’on peut lire et taire notre expérience, nos sentiments vis-à-vis du livre.

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