SOS http://youtu.be/Lzc5mF28b84
SOS http://youtu.be/Lzc5mF28b84
Diario di una schiappa racconta gli alti e bassi della vita familiare e scolastica di un personaggio divertentissimo: Greg, uno “scolaro” medio, alle prese con i travagli dell’adolescenza, il rapporto con i grandi e i più forti, che si racconta in prima persona, alternando scrittura a fumetti. Diario di una schiappa ha inoltre un’origine online, certo è uno dei motivi alla base dello straordinario passaparola che ha fatto conoscere il protagonista GREG. Diario di una schiappa si propone inoltre come una sorta di “antidoto letterario”, per nulla retorico, contro ogni forma di bullismo, perché tutto è raccontato da un ragazzino “normale” che in qualche modo, nel “suo” modo, goffo, imprevedibile, anche e soprattutto esilarante, riesce a cavarsela sempre. Greg non eccelle in nulla, non è forte, non è bravo con le ragazze, è spesso in difficoltà e a disagio con chi è più forte e aggressivo di lui e proprio non ce la fa a capire gli adulti. E questo gli ha permesso di far breccia nel cuore di così tanti giovani lettori.
Commenti tratti dal sito della Feltrinelli
è davvero un bellissimo libro i miei figli se lo sono litigati, lo hanno letto in pochissimi giorni. Lo consiglio a tutti i ragazzi ma anche agli adulti dato che è molto divertente.I miei figli non vedono l’ora che esca il continuo della serie.
in un mondo in cui i gradassi e i bulli, i coraggiosi e i forti, i furbi e i gradassi fanno cronaca, finalmente il diario di un bambino che con ironia dipinge i suoi insuccessi e le sue sfortune. Ci fa ricordare che essere schiappe è la normalità… chi di noi non è mai stato schiappa almeno una volta? Divertente sia per i bambini che per gli adulti…
Journal d’un dégonflé
Site officiel: http://www.journaldundegonfle.fr/
Greg a 12 ans, un grand frère musicien qui lui fait des blagues, un petit frère qui le colle sans cesse, un copain au collège qu’il supporte – histoire de ne pas être seul -, des problèmes avec les filles de sa classe qui pouffent à longueur de journée, des parents qui ne comprennent jamais rien à ce qu’il demande… Alors quand sa mère lui offre un journal pour qu’il écrive dedans ce qu’il ressent, Greg le rebaptise en carnet de bord (hors de question de mettre des “Cher journal” par-ci et des “Cher journal” par-là) .?Au moins, quand il sera célèbre, il pourra distribuer son carnet aux journalistes, plutôt que de répondre à leurs questions idiotes ! En attendant, Greg va à l’école et doit côtoyer des garçons plus grands, plus forts… voire même qui se rasent déjà !?Comment trouver sa place sans trop se faire remarquer ??Comment épater les filles ? Comment se faire respecter ? Greg nous livre ses secrets et ses pensées au fil de son année scolaire.Greg Heffley, l’anti-héros qui va vite en devenir un !
Commentaires
Quand roman rime avec B.D
Ce livre est fait pour réconcilier les enfants avec la lecture. Si vous êtes parents et que vous avez entendu cette fameuse phrase : “J’aime pas lire”, foncez sur le journal d’un dégonflé. Ce petit bijou d’humour de cour de recréation se lit avec une grande facilité et la B.D qui se mêle au récit le ponctue encore plus de gaffes et bêtises en tout genre. Ici le narrateur Greg nous raconte son quotidien pendant toute une année scolaire, et qui aurait cru qu’il se passait autant de choses en 5ème ? J’ai lu ce livre avec le sourire, les enfants le liront en riant !
Emilie Bouillac de la Librairie de Paris
Bonnes vacances et bon repos à tous: élèves, enseignants, collaborateurs et parents d’élèves
Un peu d’humour pour bien commencer!
mais, faut pas trop rêver quand même!!
On Ira |
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Andremo |
On ira écouter Harlem au coin de Manhattan On ira gratter le ciel en dessous de Kyoto Refrain 1: Refrain 2: Vous êtes l’horizon et nous sommes la mer On dira que les poètes n’ont pas de drapeaux On dira que les rencontres font les plus beaux voyages {Refrain 1,2,2} |
Qu’est-ce que nous mangeons?
Le documentaire du magazine INFRAROUGE diffusé le 26 mars 2013 sur France 2 LE MONDE TELEVISION | 26.03.2013 à 16h13
La peur s’installe dans les cuisines. Après la vache folle, les OGM, la viande de cheval utilisée à la place de celle de boeuf, une menace plane dans les rayons des magasins. Que cachent les étiquettes des 8 000 références alimentaires proposées en moyenne dans les supermarchés ? Question cruciale, quand on sait que les produits industriels représentent 80 % de ce que nous mangeons. Pire, les ingrédients de ces plats préparés, yaourts aromatisés, céréales pour le petit déjeuner et autres biscuits nous rendraient accros. C’est ce que montre l’enquête diffusée dans le cadre de l’émission “Infrarouge” et qui a été menée par Rémy Burkel, un Franco-Américain biberonné aux hamburgers, mais amateur de gastronomie française. Le réalisateur – trop présent devant la caméra – a effectué, des deux côtés de l’Atlantique, un voyage passionnant dans l’univers de la malbouffe. LE SUCRE, PLUS ADDICTIF QUE LA COCAÏNE Les géants de l’agroalimentaire soignent l’apparence et la texture de leurs produits (souvent bon marché et goûteux), mais abusent du sel, du gras et du sucre. Une augmentation de ces ingrédients n’est probablement pas le fruit du hasard. Les industriels ont refusé de participer à l’enquête, mais les spécialistes du secteur savent que le sucre, notamment, provoque une accoutumance. Une expérience menée sur des rats a en effet prouvé que cette poudre blanche était plus addictive… que la cocaïne ! Aux Etats-Unis, les experts expliquent sans détour que le gras, le sel et le sucre sont là pour nous procurer un plaisir immédiat et, au final, orienter nos achats. En France, une nutritionniste apprend aux consommateurs à les traquer sur des étiquettes difficilement compréhensibles. Le but ? Freiner la consommation de sucre, qui a triplé depuis la seconde guerre mondiale, causant une hausse du diabète dans les pays industrialisés. En cinquante ans, la ration alimentaire dans les contrées les plus développées est passée de 2 200 à plus de 3 000 calories. Alors que l’on se nourrissait autrefois pour assurer sa survie, on mange aujourd’hui ce que l’on aime. Des mauvaises habitudes qui sont régulièrement dénoncées par l’Organisation mondiale de la santé et qui coûteraient quelque 10 milliards d’euros au système de santé français. Heureusement, en attendant que les industriels changent la composition de leurs produits, il existe une façon simple de s’alimenter sainement : boycotter ces aliments ou poursuivre ceux qui les fabriquent. Déjà, aux Etats-Unis, des consommateurs se retournent contre ces industriels comme ils le firent, jadis, contre les cigarettiers. Pour l’avenir, il faut réapprendre à la population à cuisiner les fruits et les légumes et obliger l’agroalimentaire à mieux étiqueter ses produits. La bataille pour la bonne bouffe a commencé, mais son issue est encore incertaine.
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